Un amour inconnu
Jamais, je ne pourrais connaître la joie qu'aurait pu m'unir pour toujours à toi,
Ce lien sacré et si pur qu'ont tous ces autres, ne sera peut-être pas pour moi,
Pourtant, j'aurai été prête à t'offrir tout mon amour, ma chaleur et mon toit,
Te bordés d'un amour profondément inconditionnel qui m'emplirait d'émois,
Sans vraiment ouvrir le débat, pendant très longtemps, tout bas, je t'ai rêvé,
Tout de moi, ma chair, mon sang, mes yeux, je t'aurais vraiment tout donnés,
En effleurant plus bien que quelques doux rêves du jour propice de ton arrivée,
Attentivement, j'aurai pris le temps d'observer ton sourire et ton petit bout du nez,
Longtemps, je te désirais tout au fond de moi et te prévoyais dans mon avenir,
Quel plaisir j'aurai pu vivre grâce à toi, en t'attendant et puis en te voyant venir,
Une très grande partie de moi aurait pu à toi seulement toujours appartenir,
Entre mes bras, je t'aurais pris, serrer, cajoler, bercer ou même juste te tenir,
L'un et l'autre, nous nous serions ressemblais et j'aurais voulu t'apprendre tant de choses,
Certainement que ta vie tout comme la mienne n'aurait sans doute pas été toute rose,
Pourtant j'aurai pu écrire pour toi des lettres, des rimes ou même plusieurs proses,
Y confier aussi, les rêves que j'avais pour toi, ceux-là auraient été l'une des plus belles choses,
Hélas, ce sont les heures, les jours, les années passent et toi, tu ne restes qu'un rêve,
Auquel maintenant, je peine à croire encore un peu plus chaque jours qui se lèvent,
En moi, git cette envie d'aimer avec la force virulente d'un amour immense sans trêve,
Un jour, et pour de très longues années, j'aurai aimé que sur toi, mon regard se lève.
Jamais, je ne pourrais connaître la joie qu'aurait pu m'unir pour toujours à toi,
Ce lien sacré et si pur qu'ont tous ces autres, ne sera peut-être pas pour moi,
Pourtant, j'aurai été prête à t'offrir tout mon amour, ma chaleur et mon toit,
Te bordés d'un amour profondément inconditionnel qui m'emplirait d'émois,
Sans vraiment ouvrir le débat, pendant très longtemps, tout bas, je t'ai rêvé,
Tout de moi, ma chair, mon sang, mes yeux, je t'aurais vraiment tout donnés,
En effleurant plus bien que quelques doux rêves du jour propice de ton arrivée,
Attentivement, j'aurai pris le temps d'observer ton sourire et ton petit bout du nez,
Longtemps, je te désirais tout au fond de moi et te prévoyais dans mon avenir,
Quel plaisir j'aurai pu vivre grâce à toi, en t'attendant et puis en te voyant venir,
Une très grande partie de moi aurait pu à toi seulement toujours appartenir,
Entre mes bras, je t'aurais pris, serrer, cajoler, bercer ou même juste te tenir,
L'un et l'autre, nous nous serions ressemblais et j'aurais voulu t'apprendre tant de choses,
Certainement que ta vie tout comme la mienne n'aurait sans doute pas été toute rose,
Pourtant j'aurai pu écrire pour toi des lettres, des rimes ou même plusieurs proses,
Y confier aussi, les rêves que j'avais pour toi, ceux-là auraient été l'une des plus belles choses,
Hélas, ce sont les heures, les jours, les années passent et toi, tu ne restes qu'un rêve,
Auquel maintenant, je peine à croire encore un peu plus chaque jours qui se lèvent,
En moi, git cette envie d'aimer avec la force virulente d'un amour immense sans trêve,
Un jour, et pour de très longues années, j'aurai aimé que sur toi, mon regard se lève.
